DS 7 E-Tense 4x4 300
Auto Revue
Nouveaux looks
Le nouveau DS7 nous arrive donc avec une face avant aux lignes plus tendues et une nouvelle signature lumineuse, baptisée DS Light Veil et composée de deux fois quatre bandes led verticales qui délimitent les extrémités de la proue à la manière de dents de sabre. A l’arrière, soulignons les blocs full led à effet vortex et les inserts métalliques entourant le nom ‘DS Automobiles’.
A l’intérieur, les changements sont plus discrets. Le DS7 reste le cocon de luxe et de raffinement qu’il a toujours été. Certains critiqueront sans doute l’omniprésence du thème trapézoïdal, mais il faut bien reconnaître que les matériaux et les finitions sont de toute première qualité. Contrairement au système d’infodivertissement, qui laisse à désirer.
La version essence passe à la trappe
Depuis la dernière refonte, DS a réduit la gamme du ‘7’ à un diesel de 130 ch et trois hybrides rechargeables, dont la version d’appel abrite un moteur essence 4 cylindres de 1,6 litre et 180 ch combiné à un moteur électrique de 110 ch sur l’essieu avant, soit une puissance cumulée de 225 ch.
Quand on monte en gamme, on trouve les E-Tense 4x4 300 et 360, tous deux à transmission intégrale puisqu’au moteur électrique à l’avant s’ajoute un deuxième moteur électrique de 113 ch monté sur l’essieu arrière. Si on y associe le moteur à essence passé à 200 ch, on obtient une puissance cumulée respective de 300 et 360 ch. Les trois variants hybrides sont équipés d’une batterie de 14,2 kWh qui promet une autonomie de 63 kilomètres.
Solides performances
Rien de surprenant qu’avec une puissance de 300 ch, le DS7 se montre particulièrement performant, au détriment hélas de l’autonomie et de la consommation. Le DS7 n’affiche toutefois pas de réelle vocation sportive, notamment en raison de son poids et de sa tendance au roulis dans les virages serrés.
L’insonorisation est assez exceptionnelle et les suspensions assurent un confort très appréciable, grâce aux amortisseurs de série DS Active Scan, même s’ils n’atteignent pas le niveau de la mythique suspension Hydractive des anciennes Citroën. Les tarifs sont très ambitieux et la gamme est tellement complexe qu’un chat n’y retrouverait pas ses jeunes.